mardi 16 avril 2024
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NEMMEEKU TOUR POUR UNE ARMURE DU PROJET PASTEF

Le PASTEF, un projet de révolution qui s’appuie sur le parti PASTEF, véhicule pour arriver à la magistrature suprême, unique station de transformation de la gestion du pays.
Une vision pour un pays, nécessite une appropriation de celle-ci par ses citoyens, pour son application, mais surtout pour sa protection parce que devenue propriété de tous, propriété du Sénégal.
Objectif : protéger collectivement et à l’unisson, la vision, le projet devenu nôtre, de toute attaque, toute atteinte susceptible de le nuire. Même le Président élu, lui- même, qui nous a vendu le projet, doit être surveillé pour son application car le peuple a fini de l’acheter à travers les urnes par leurs cartes d’électeurs, leurs voix.

En 2012, Macky Sall nous vendait le  » Yoonu Yokkute  ». En 2014 il nous sert le PSE, un plan acheté à hauteur de milliards, d’un cabinet étranger. IRONIE du sort ou signe Divin, cette même année 2014, naquit le PASTEF.

À l’instar des appareils électroménagers venant d’Europe, le PSE avait besoin d’être tropicaliser, ce qui ne fut pas fait. Résultat : cette sentence cruelle à la hauteur du crime commis. Malgré la croissance sans cesse galopante, nous vivons une pauvreté sans cesse croissante, la cause à une économie extravertie entraînant un rapatriement des bénéfices dans les pays étrangers des multinationales qui tirent cette croissance.

La mer vendue, ses fruits avec, des milliers d’hectares de terre octroyés à des multinationales, au détriment des nationaux qui, jadis producteurs, se retrouvent aujourd’hui, spoliés de leurs terres et transformés en de vils ouvriers journaliers sans avenir aucun dans des exploitations d’étrangers. Pour satisfaire nos besoins pendant les cérémonies Magal, Gamou,Tabaski et autres, il faut nous ouvrir à l’étranger, les pays voisins.

Déjà en 2013, Amayi Badji, rédacteur dans le site WATHI, nous apprenait que la facture laitière du Sénégal s’élèvait à 70 milliards pendant que des milliers de litres de lait de vache se perdaient au même moment dans les zones pastorales du pays. On peut en dire autant de tous les secteurs de la vie économique du Sénégal. Le constat est là : un pays qui ne manque de rien, mais un pays qui importe TOUT pour vivre. La faute à ce système qui justifie la nécessité du PASTEF.

Même en temps de guerre, on ne tire pas sur les ambulances. Pourquoi le ferai- je donc sur la dépouille de Macky Sall ? Oui, il est mort son enterrement prévu en 2024. Lui, feu Macky, ne fût en réalité qu’un maillon de la chaîne du système. Maillon qu’ils ont d’ailleurs plusieurs fois, changé. Cette fois – ci, il s’agit de briser la chaîne, de la rendre à jamais inutilisable, de la jeter très loin là où personne n’ira la chercher.

On en a assez de cette indépendance qui nous appauvrit de jour en jour, c’est d’une autonomie dont nous avons besoin, autonomie qui ne se donne pas mais autonomie qui s’arrache, qui se construit, qui se bâtit.

Nul doute donc que tous ceux qui s’engraissent du système, verront leurs intérêts menacés et se dresseront tout naturellement, ou dresseront leurs ouailles contre les intérêts véritables du peuple qui menacent leurs intérêts à eux. Elles ne sont pas les seules bénéficiaires du système, la France et les multinationales ; des Sénégalais, à quelque échelon qu’ils se situent, en bénéficient également. Les voilà démasqués, ceux là qui tenteront de saboter le projet qui leur arrachera le fromage de la bouche.

OUSMANE SONKO ne cesse de nous appeler au sacrifice pour un SÉNÉGAL meilleur pour notre descendance, nos enfants et petits- enfants. Partout dans le monde où il y a équité, c’est parce qu’ une génération s’est sacrifiée pour cela :  » li ñëp bokk ñëp jot ci »

Merci à la soeur FATOU DIOME, jigéen ju am jom, pour cette belle histoire contée, de la CHINE. La république populaire de CHINE a été envahie pendant longtemps par le JAPON. Les Chinois se sont relevés, ont travaillé dur et rivalisent aujourd’hui avec les ÉTATS-UNIS d’Amérique. Désormais, même dans les rêves les plus fous de japonais, envahir la CHINE , de quelque manière que ce soit y est proscrit. Bravo aux Chinois pour cette belle réponse.

Yes we can do it, we senegalese people.

Oui nous pouvons le faire, nous le peuple Sénégalais. Il suffit de copier sur le Mali, qui s’est uni derrière son Président Assimou Goïta pour défendre les intérêts de leur pays. Aujourd’hui la France y est chassée et le Mali n’a plus besoin d’autorisation pour survoler son propre territoire. Un blocus économique de la CEDEAO, il l’a subi pendant longtemps, il a plié mais n’a jamais rompu parce que soutenu par le peuple tout entier. Assimou Goïta n’avait même pas vendu de projet aux maliens, mais son discours suivi de ses actes de tous les jours ont suffi aux maliens pour le soutenir. Les peuples connaissent mieux que quiconque là où se trouvent leurs intérêts.

Contrairement aux maliens, le PASTEF, à travers son porte étendard, a livré son offre aux Sénégalais. Depuis, nos rangs ne cessent de grossir, notre leader adopté par les panafricains du monde entier qui voient en lui un Isidore Thomas Sankara ressuscité .

l’Afrique a beaucoup appris et tout assimilé. C’est connu, pas besoin de procès pour le prouver. Sankara est assassiné par son traître de frère Compaoré, avec l’aide et le soutien de la France, parcequ’il était contre le système. En Algérie, le FIS avait gagné les élections législatives, on leur a empêché de gouverner, beaucoup d’intérêts de la France étaient en jeu. L’économie de la Guinée Conakry sous Seckou Touré, a été sabotée, la France voulait éviter que la Guinée fasse des émules en Afrique. Plus récemment encore, la CEDEAO oeuvrait pour une monnaie unique  »ECO », la France de Macron gachât tout en Côte d’Ivoire en compagnie de ses valets Ouattara et Sall.

Les leçons sont apprises, au delà des Sénégalais, les Africains feront bloc, ils feront face à toute entreprise visant à les détourner du chemin qu’ils se sont choisis.
L’armure se confectionne, elle sera plus résistante que l’acier, la révolution est déjà en marche, quelque soit le montant, les Sénégalais refusent désormais de vendre leur voix.
La révolution en marche, les Sénégalais financent le projet à la sueur de leurs fronts.
La révolution en marche, les Sénégalais meurent pour défendre le projet.
La révolution en marche, elle est inarrêtable…

Ci xalima gi
Sooyaa Ibnu Kudjiina

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Princesse
1 année il y a

Maasàllaa amati na solo. 🇸🇳❤️

Djibsone
Djibsone
1 année il y a
Répondre à  Princesse

Merci frère soya ameuna solo

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