Dans un pays où la confiance du peuple en ses institutions vacille trop souvent, le Premier ministre Ousmane Sonko se dresse avec lucidité, courage et rigueur pour restaurer l’éthique et la transparence au cœur de l’action publique. Loin des discours démagogiques, il agit avec une fermeté rare, dénonçant sans détour les dérives qui minent l’efficacité du service public.
Lors d’une récente évaluation de la gestion de plusieurs structures étatiques, Ousmane Sonko a pointé du doigt des manquements graves, récurrents et inacceptables au regard des principes élémentaires de bonne gouvernance. Ce constat sans complaisance témoigne de son intégrité, de sa volonté de rupture avec les pratiques opaques du passé et de sa détermination à redonner à l’administration publique sa noblesse.
Parmi les dérives soulignées, figurent :
La non-tenue des pré-conseils sur des questions stratégiques, compromettant la collégialité des décisions et la concertation nécessaire au bon fonctionnement des institutions.
L’absence de comptes rendus systématiques, instaurant un climat d’opacité contraire aux règles de transparence et de redevabilité.
Un archivage défaillant, mettant en péril la traçabilité et la mémoire administrative, pourtant essentielles à la continuité de l’État.
Le non-respect de la durée de validité des mandats des administrateurs, un dysfonctionnement majeur qui fragilise la légitimité et la crédibilité des instances de gouvernance.
La mauvaise qualité de la représentation, due au profil inadéquat de certains administrateurs, ce qui affecte lourdement la qualité des décisions prises au nom du peuple.
En dénonçant ces irrégularités avec force et clarté, le Premier ministre Ousmane Sonko ne fait pas que constater : il s’engage. Il engage l’État vers une réforme en profondeur, guidée par les principes d’éthique, de compétence et de redevabilité. C’est là l’expression la plus sincère de son intégrité : servir le peuple avec loyauté, sans compromis, sans calcul.
Face à la complaisance, il oppose l’exigence.
Face à l’immobilisme, il incarne la volonté d’agir.
Face à la dérive, il trace le chemin du redressement.
Ousmane Sonko, c’est plus qu’un Premier ministre. C’est un homme d’État. Un homme de vérité. Un homme d’intégrité.
SALL MAMADOU OUMAR