vendredi 26 avril 2024
Politique

Communiqué de PASTEF Suisse : Pour une défense sans faille du Président Ousmane SONKO

Pastef Suisse, comme tous les sénégalais avertis, constatent depuis quelques semaines des sorties cabalistiques, sibyllines et scabreuses envers le leader de Pastef, Ousmane Sonko.

Les sorties répétées des membres de la mouvance présidentielle, faites à dessein, dont la plus récente, émanant du leader de la Synergie républicaine, constituent le début d’un processus visant à infliger une avanie au leader de Pastef, mais aussi à créer une diversion visant à faire oublier les scandales sur les ressources naturelles du Sénégal.

En effet, l’idée a été émise de priver de droits civiques tout fonctionnaire ayant reçu une sanction administrative à partir du non-respect du devoir de réserve.

L’on s’achemine alors vers une pente dangereuse et à l’antipode de la paix, causée par l’ignorance et l’incompétence d’individus, prêts à tout pour retrouver les bonnes grâces du prince.

Rappelons à ces incompétents, le principe de NON-RETROACTIVITE de la loi et stipulé à l’article 6 de la constitution du Sénégal : Nul ne peut être condamné si ce n’est en vertu d’une loi entrée en vigueur avant l’acte commis.

Sous un autre angle et en imaginant la loi déjà en place avant la radiation du Président Ousmane Sonko de la fonction publique, faudrait-il aussi rappeler que le Sénégal a adopté une directive de la CEDEAO encourageant tout fonctionnaire à dénoncer toute malversation au niveau de l’administration ? c’est même un principe de base de la bonne gouvernance qui rend désuète et caduque une telle règle.

Sachant certainement qu’un tel plan bâti sur les propositions précitées et les sornettes, est voué à l’échec, on assiste au plan B, visant à incriminer le Président Sonko sur l’affaire dite des 94 milliards.

Sans entrer dans les détails, rappelons que ce dernier a déposé tous les documents jugés utiles au niveau de l’OFNAC, du procureur de la République et du juge d’instruction. Pourquoi alors vouloir passer par une commission d’enquête parlementaire, composée de majorité partiale et mécanique ? Le camp présidentiel fignole un plan machiavélique et incongru dans un Etat de droit digne de ce nom.

Pastef Suisse dénonce de la façon la plus énergique, ce qui précède et entend engager un combat qui sied et sans faille face à de telles forfaitures, pour défendre les acquis démocratiques et permettre au leader de Pastef de continuer à jouir de ses droits civiques, devant le mener au pouvoir !

La Coordination

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