La politique un art, Sonko un artiste
« Quand il attaque,il tient le haut du pavé ; quand on l’attaque,il tient le haut du pavé »
Babacar Justin N’diaye a vu juste, ces paroles prononcées durant les années de braises dans l’opposition revêtent aujourd’hui plus que jamais toute leurs véracités pendant qu’Ousmane incarne le pouvoir.
Les violences répétées durant la campagne législative devaient être arrêter le plus rapidement possible sans perte, aucune,ni de la face de l’état encore moins de celle du PASTEF.
L’utilité de la force n’est pas de frapper,blesser ou tuer. La force sert uniquement à la négociation, et le but ultime de la négociation étant de parvenir à ses fins , à ses désirs.
Militants violemment agressés à Saint Louis,il faut l’équilibre de la terreur pour faire cesser cela et les menaces suffisent . Par menaces , comprendre la libération de la « meute patriote » contre Juda Diaz qui voit sa vie et celles de ses nervis gravement exposées. Dès lors,une seule alternative pour le pouvoir public : désarmer Juda Diaz de sa bande de nervis qu’il faut du même coup protéger de la vindicte populaire.
Objectif atteint pour SONKO, le but était de désarmer Juda Diaz et du coup faire cesser la violence. La garde rapprochée de Diaz désormais en prison, Pastef peut, et doit aller à l’essentiel: honorer les rendez vous fixés avec le peuple sénégalais, respecter le programme initial de la campagne et ne jamais improviser .
La vengeance se fera dans les urnes, bientôt Juda et sa clique n’auront plus droit au chapitre politique au Sénégal. Ils se sont sortis d’eux même du jeu.
Ci Xalima gi
Sooya Ibn kudjina