Pastef au pouvoir, porté en triomphe par une révolution populaire pour opérer les ruptures nécessaires qui rendront le Sénégal aux sénégalais. Les nouvelles autorités, redevables au peuple et seulement au peuple.
Bientôt un an d’exercice au pouvoir, pas encore de visite officielle du Président Diomaye en France malgré la demande de l’état français, le premier partenaire officiel du Sénégal.
Pourtant le ciel ne nous est pas encore tombé sur la tête.
Moins d’un an au pouvoir et les éléments militaires français au Sénégal rendent paquetage, libérant nos terres et nous cédant les locaux qu’ils y avaient construits . Beaucoup trop d’hectares reviennent au pays dans sa partie la plus en manque, Dakar s’élargit , il reçoit des » bouffées » d’espaces de terres.
Le ciel, toujours bien accroché refuse de nous tomber dessus.
Le Sénégal se libère et reprend sa dignité perdue, d’état indépendant. Mais les projecteurs sont allumés sur quelques emplois perdus par des collaborateurs de ces éléments militaires français.Bien loin l’époque où la France convoquait nos dirigeants pour leur indiquer la conduite à tenir.
Nous rendons nous comptes des gains acquis ?
Pastef au pouvoir, le problème lancinant de l’homosexualité réglé sans avoir à le criminaliser. Toutefois cette criminalisation de ces actes pervers doit être traduits en acte.
Au premier ministre luxembourgeois qui voulait investir au Sénégal à condition d’avoir la garantie du respect des minorités, comprenez des homosexuels, Diomaye a répondu qu’il n’a du respect qu’à la volonté de son peuple et que si ce dernier demande la criminalisation de l’homosexualité, il s’exécutera sans état d’âme . Diomaye avait conscience qu’il venait de cracher dans la soupe homosexuelle très par respect au peuple révolutionnaire. Il répétera le même discours à la tribune des nations unies afin que nul n’ignore la position officielle du Sénégal face à ce fléau des temps modernes. L’agenda des homosexuels venait d’être déchirer, il ne reste plus qu’à verrouiller par une loi encore plus sévère.
Le Haut Conseil des Collectivités Territoriales et le Conseil Économique, Social et Environnemental dissouts , pourtant le ciel reste toujours accroché au dessus de nos têtes. Bien au contraire , on se rend compte que le Sénégal dépensait à perte pour entretenir ces institutions budgétivores et inutiles. Ouf pour nos deniers publics. Par cet acte Diomaye se prive énormément de refuges où il pouvait caser une clientèle politique.
La reprise du patrimoine bazardé de l’état est l’actuel chantier,la chasse aux pilleurs est lancée pour recouvrer le bien public. Une forte résistance en vue, portée par d’ex hauts commis de l’état et de très gros portefeuilles. Le peuple doit accompagner l’état, surtout quand celui ci est dans son bon droit, c’est cela la protection de la révolution.
Ci Xalima GI
Sooya Ibnu Kudjina
12/03/2025