SONKO SE DÉMARQUE DES FAUCONS ET RENOUVELLE SON ENGAGEMENT AU PEUPLE SOUVERAIN :

Le premier ministre a remis les pendules à l’heure en déclarant que « Nous ne sommes pas venus gérer le système, mais pour le démonter, pièce par pièce. »

La pire trahison n’est pas celle du politicien qui ment, mais celle de l’intellectuel qui sait… et se tait. Celle du technocrate qui voit… et signe.

Et c’est bien là le cœur du drame : ce ne sont pas les ignorants qui prolongent les régimes iniques, ce sont les intelligents. Ceux qui ont les moyens de dire non, mais choisissent le silence. Ceux qui ont les compétences pour construire autrement, mais préfèrent consolider l’ordre injuste.

Plutôt que de se taire et être complice, il a comme à son accoutumée choisi de s’insurger contre cette hydre à plusieurs têtes qui commence à comtaminer nos rangs!

Ousmane Sonko ne se bat pas contre des individus, mais contre un système, un appareil d’État verrouillé par des forces qui dissimulent leur violence derrière des titres honorifiques.

Face à ce système, Sonko incarne une rupture. Pas une rupture de posture, mais une rupture de structure. C’est cela qui dérange : non pas l’homme, mais ce qu’il fait trembler dans les fondations du pouvoir.

Une armée de snipers, opérateurs invisibles du régime, non plébiscité par un peuple, non exposés car agissant dans l’ombre, mais puissants.

Ce sont les plumes des discours creux, les auteurs des campagnes de manipulation, les rédacteurs de lois liberticides, les architectes de la répression douce. Des technocrates sans morale qui ont tourné le dos au peuple, au nom de l’ordre établi.

La vraie violence n’est pas physique, ni verbale, elle est institutionnelle., celle là même qui emprisonne des idées, qui déshumanise des voix, qui criminalise l’engagement.
Ce n’est pas une guerre de rue, c’est une guerre de salons. Dans les bureaux climatisés, on prépare les ordres de mise à mort politique.

Les armes de ce système sont des journalistes compromis, experts zélés, ONG silencieuses. Ils ont troqué la vérité contre des postes, la dignité contre des contrats.

Hier, Sonko a réaffirmé sa posture de Premier ministre légitime après le Conseil national. Son principal défi est de concilier pouvoir et discipline interne. Sa stratégie politique est celle d’un leader déterminé à poursuivre ses ambitions malgré les oppositions.

Maïmouna Dia

https://www.facebook.com/share/p/1WHR92QsQK/?mibextid=wwXIfr

Étiquetté :
0 0 votes
Évaluation de l'article
S’abonner
Notification pour
guest

0 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x