LE LEG DÛ À NOS ENFANTS
C’est juste un appel à une introspection individuelle et collective.
D’un pays en entier nous avons hérité, à nos descendants nous devons le transmettre. Que l’égoïsme ne nous habite point car sur leurs intérêts nous devons veiller avant de penser à nous mêmes.
Malheureusement, honte à nous, nos descendants s’occuperont d’abord à solder des dettes qu’ils n’ont pas consommer, avant de penser à leurs avenirs déjà compromis alors qu’ils n’étaient même pas encore nés.
Ils ne connaîtront point le DOUN BABA DIEYE, emporté par la brèche ouverte sur la mer à Saint Louis. Le lac rose n’en parlons pas, ce phénomène atypique de la nature qui mobilise toutes les nationalités du monde pour venir le découvrir, leur sera conté dans des livres parce qu’éradiquer par la cupidité sénégalaise. Même sort pour feu le désert de LOUMPOUL, un désert en pleine savane tel un oasis en plein désert, emporté par l’exploitation du zircon dont nous ne recevons que la poussière qui nous mène à l’hôpital . Sangomar n’est plus, bientôt sa soeur Djifere la suivra dans les méandres de l’océan sous nos yeux spectateurs, aucun n’effort nous refusons de fournir.
Massa cher descendants, nous vos parents, n’étions occupés que par l’intérêt du moment et du ventre , ne pensant jamais à vous et au leg que nous vous devons.
Vous aurez l’opportunité de faire l’audit de nos comportements afin de choisir ceux là parmi nous dont vous serez fiers et voudrez ressembler et les autres qui seront sans nul doute considérés comme des traîtres, des renégats.
A MÉDITER.
CI XALIMA GI
SOOYA IBNU KUDJINA.
11/03/2025